Dans le monde des thérapies énergétiques, deux méthodes reviennent souvent : le Reiki et le Lahochi. Bien qu’elles aient toutes deux pour objectif d’harmoniser les énergies du corps et de l’esprit, elles se distinguent par leur origine, leur fréquence vibratoire, leur approche de transmission, ainsi que par leur facilité d’apprentissage. Si tu hésites entre les deux ou souhaites mieux comprendre leurs spécificités, cet article est fait pour toi !
Origine et histoire : des racines différentes
Le Reiki est une méthode de soin énergétique d’origine japonaise, développée au début du XXe siècle par Mikao Usui. Le mot « Reiki » est composé de deux kanji : Rei (énergie universelle) et Ki (énergie vitale). Le Reiki Usui est donc une pratique qui canalise l’énergie universelle pour la transmettre au receveur dans un but de bien-être global.
Le Lahochi, quant à lui, est une méthode plus récente. Elle a été « reçue » en 1991 par un thérapeute américain, Fred Sailor, lors d’une canalisation spirituelle avec un maître ascensionné nommé Lao Tseu. Le nom Lahochi est lui aussi symbolique : La fait référence à la lumière, Ho au mouvement de l’énergie, et Chi à la force vitale. Le lahochi est donc un soin par la lumière et la haute fréquence énergétique.
Fréquence vibratoire : une différence notable
L’une des différences majeures entre le Reiki et le Lahochi réside dans la fréquence vibratoire. Le Lahochi est reconnu pour être une des plus hautes fréquences de soin accessibles actuellement. Beaucoup de praticiens affirment qu’ils ressentent une énergie plus puissante, douce et enveloppante lors des soins Lahochi, tandis que l’énergie Reiki est perçue comme plus « structurée » et ancrée.
Cela ne signifie pas que l’un est « meilleur » que l’autre, mais simplement qu’ils vibrent différemment. Certains préféreront l’énergie douce et subtile du Reiki, d’autres la puissance lumineuse du Lahochi.
Initiation et transmission
Le Reiki Usui suit un parcours traditionnel en plusieurs degrés : premier, deuxième, troisième, puis le niveau de maître enseignant. Chaque degré nécessite une initiation spécifique (appelée « harmonisation » ou « reiju ») effectuée par un maître Reiki. La formation peut donc s’étendre sur plusieurs mois, voire plusieurs années.
Le Lahochi, lui, est beaucoup plus accessible. Une seule journée de formation suffit généralement pour devenir praticien, et l’initiation peut se faire à distance, ce qui n’est pas toujours le cas avec le Reiki. Cette simplicité rend le Lahochi particulièrement populaire auprès des personnes qui débutent dans les soins énergétiques.
Techniques et positions
Les positions des mains dans le Reiki sont assez codifiées et suivent un protocole précis selon les zones du corps à traiter. Dans le Lahochi, il existe aussi un protocole, mais il est plus souple, avec six positions de base. L’accent est mis sur l’intuition, et le praticien est invité à suivre son ressenti pour adapter le soin.
Par ailleurs, le Lahochi propose une approche très spirituelle, avec une connexion profonde à des guides de lumière, tandis que le Reiki, bien qu’il puisse aussi être très spirituel, reste plus centré sur le canal humain de l’énergie universelle.
À chacun son énergie
En résumé, voici les grandes différences entre Reiki et Lahochi :
Aspect | Reiki Usui | Lahochi |
|---|---|---|
Origine | Japon (Mikao Usui, début 1900) | USA (canalisation spirituelle, 1991) |
Fréquence | Moyenne à élevée | Très élevée |
Transmission | Plusieurs niveaux, en présentiel | Une initiation unique, souvent à distance |
Protocole | Structuré, positions codifiées | Souple, intuitif |
Durée d’apprentissage | Formation étalée sur plusieurs niveaux | Formation courte, accessible à tous |
Au final, ces deux approches ne s’opposent pas mais se complètent. Il n’est pas rare de croiser des praticiens qui utilisent les deux méthodes en fonction des besoins de leurs clients. Maintenant que tu as toutes les informations sur ces deux pratiques, c’est à toi de faire ton choix.